Shouro Jidai
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L'époque des clochers
 
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L'enfance de Noah~

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AuteurMessage
Noah Amshford
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Noah Amshford
Messages : 568
Date d'inscription : 26/03/2013
Localisation : Jakarta

Feuille de personnage
Âge: 52 ans.
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L'enfance de Noah~ Vide
MessageSujet: L'enfance de Noah~ L'enfance de Noah~ Icon_minitimeLun 24 Fév - 19:08


ID Card
L'enfance de Noah~ Dagran10



Nom: Amshford, Watson, Moss, Irignan, El Maril, Evans, Whitespire, D'Zaril, Espair, Karanomé, Diske, Johnson, Sacharez, Bachelet...
Prénom: Noah, Nelson, James, Éric, Ragnar, Tevan, Evan, Jared, Clive, R'a'Mesh, Posidonyos, Alois, Edward, Henri...
Sexe: Masculin
Age: 47 ans (humain) et 52 ans métamorphe.
Race: Métamorphe.
Ville de naissance: Nairobi



Taille:172 cm. (1m68 à dater du Treize Avril 2015)
Poids:67 Kg.
Rêve: Pourquoi rêver si la vie est un rêve ?
Aime: Voyager, enseigner, la nature,...
Déteste: S'ennuyer, la paperasse, les personnes trop sérieuses,...
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel.
Métier: Directeur et enseignant à l'académie Amshford.





À quoi tu ressembles ?


Noah est métamorphe, il peut donc adopter n'importe quel apparence, mais je vais vous décrire ici les apparences les plus récentes du directeur de l'académie Amshford. La première, sa forme actuel, est celle d'un homme à la trentaine tirant vers la quarantaine. Aux yeux bleus nuit et aux cheveux sombres, sa peau à un teint bien bronzé, sa peau tannée par le soleil durant les longues heures qu'il passe à ci prélasser.  Majoritairement, ses cheveux sont tirés vers l'arrière avec trois lignes de chaque côté et une plume attachée à l'arrière de son crâne. Souvent habillé d'une chemise ou d'un complet dans le cadre de son boulot, il préfère porter une veste verte avec une chemise aux manches repliées en-dessous ainsi qu'un pantalon amuré. Il porte toujours deux épées dans leurs étuis à sa ceinture, l'une étant unique et l'autre étant un simple katana. Il a aussi sur ses mains deux mitaines de cuir avec une dizaine de bracelet sur chaque bras. Cet homme peu commun porte aussi deux cercles de fers à ses biceps, ceux-ci pouvant casser quelques dents lors de corps à corps.
Sa deuxième forme, et sa précédente, est celle d'un elfe à la peau albâtre et aux cheveux noir comme une nuit sans étoiles ou blond, fin et translucide. Adoptant ainsi la rapidité des elfes caractéristique des elfes, il adopte le style simple des vêtements elfique. La plupart du temps, il aborde des tons tels que le brun ou le beige, avec une touche de vert.
La troisième, et la dernière de celle dont je vous parlerai, est l'une de ses favorites. Il n'hésite pas à la revêtir de temps à autre pour duper ses élèves et ainsi se tenir au courant des dernières rumeurs. À l'apparence d'un homme à la vingtaine aux cheveux dorés et aux yeux bleus ou argenté, il adore porter des vêtements de sport qui mette son physique développé en évidence. Souvent, il s'agit d'un t-shirt de basket bleu portant le numéro sept, un short blanc et bleu ainsi que des chaussures de sports.





À quoi penses tu ?


Noah a beau être proche de la cinquantaine, il a gardé son âme d'enfant. Joyeux et souriant en toute circonstance, il sait garder la tête froide en cas de coup dur. Et même si le directeur de l'école est un plaisantin un peu je-m’en-foutiste, , il vaut mieux pour vous ne pas le mettre en colère car avec ses quarante-sept ans d'expérience derrière-lui, il s'y connait sur tout ce qui peut avoir attrait à la torture. Mais n'allez pas croire pour autant qu'il est sévère vis-à-vis de ses élèves, loin de la. Il serait même plutôt laxiste. Noah dirige l'école d'une main de fer dans un gant de velours. En dehors de l'école et durant les rares moments de vacances qu'il s'octroie, son esprit guerrier ainsi que la flamme du jeu et son côté de fêtard se réveillent. Joueur de cartes émérites, grand buveur d'hydromel, il ne se refuse pas une petite bagarre de temps à autres. Évidemment, si son parcours de vie l'a rendu ainsi, elles l'ont aussi endurcie. Derrière ce visage de fêtard invétéré se cache l'un des stratèges de la bataille d'Ur, un guerrier aguerri et un voleur patenté. Fourbe, il l'est mais seulement avec les personnes lui déplaisant, ce qui arrive assez souvent... Et réciproquement. Son caractère lui a valu les foudres de bons nombres de parents et un œil vigilant de la part du gouvernement. Cet-homme (Ou métamorphe devrais-je dire) a une double face difficile à cerner, comme les messages divinatoires ou les présages dans du marc de café. Grâce à ses atouts guerriers, il est vigilant en tout temps, garde son sang froid quoi qu'il arrive et a un esprit d'analyse développé. Sa façon de jouer aux cartes lui permet de les exercer, par exemple pour décoder les gestes et mimiques des personnes lors d'une partie. Avec tout ça, vous pourriez croire qu'il tient du surhomme mais si son intellect ou ses capacités d'analyses se valent, il n'a pas d'égal en matière de crédulités et de niaiseries. Vous pourriez lui dire n'importe quoi que sur le coup, il goberait tout. Même si son bon sens lui remettra les idées en place un peu plus tard.



Qu'as tu vécu ?


Je vais, ici même, vous conter l’histoire Noah Amshford, Drake Feliz, D'zaril Del Posidonios, James Peter, ou plus simplement le directeur de l'académie de Jakarta. Suis-je barde, conteur ou grand orateur que pour cela ? Non, loin de là. Mis à part quelques talents à l'écrit, je n'ai pas de telle disposition. Ce qui me permet de le faire, c'est le fait que je l'ai connu bien des années avant sa naissance et que je verrais certainement sa mort. Mais bon, trêve de bavardage inutile sur ma modeste personne. Laissez-vous emporter par les mots écrit de ma plume et écoutez l'histoire du descendant oublié de Jakarta.

Tout commença un mois d'octobre pluvieux, mais doux, à l'hôpital de Nairobi, un petit village proche de la capitale du continent du Nord. Deux enfants bien portant venaient de voir le jour, remplissant de joie deux jeunes familles. Le première enfant, fils du duc et de la duchesse du petit compté, était un petit bambin plein de vie avec les cheveux blonds d'or de son père et les yeux vert azuré qu'on savait qu'il garderait, hérité de la famille de sa mère. Le second était certes l'air mon fringant que le premier, ses cheveux déjà blanc ainsi que ses petites pupilles laiteuses, mais cette famille modeste des faubourgs en était déjà fière. Les deux familles se félicitèrent gracieusement, s'offrant toute deux les œufs, symbole de fertilité, le sel, symbole de chances, ainsi que le beurre, symbole d'abondance, de coutume lors des naissances aux enfants nouveau-nés. Puis, au fils de jours, toutes deux repartirent chez elles avec un petit enfant dans les bras en plus.

Les années passèrent paisiblement à Nairobi, quelques orages traversèrent le village, ainsi que quelques cigognes, de l'eau passa sous les ponts et le temps continua son interminable cours. Les deux jeunes garçons étaient maintenant âgés de sept ans. Peter Feliz, fils des dirigeants du petit compté, était exactement comme l'avait prédit son père. Un enfant blond, plein de vie et aux yeux verts nuancé de bleu plein de malice. Le second enfant, notre Noah, même si ce n'était son nom de l'époque, avait toujours les pupilles argentés et les cheveux blanc digne des premières neiges, translucide, hérité de son patrimoine génétique. Son regard à lui avait déjà l'air empli de sagesse et le garçonnet, pas très costaud à l'époque, préférait parlementer plutôt que de jouer des poings. Au fil des printemps, les deux garçons avaient forgé une solide amitié, si bien que maintenant, on ne trouvait pas l'un sans l'autre. Au village, tout le monde ou presque les connaissait, même au-delà du futur titre de Peter. Tout deux espiègles, ils s'amusaient souvent à faire quelques farces aux habitants, et si cela faisait rire les jeunes dames, les deux jeunes hommes s’attirèrent les foudres du tavernier, qu'ils prenaient un malin plaisir à faire enrager. Comme vous et moi, les compères avaient une petite cachette. À tour de bras (Et avec l'aide du garde qui accompagnait continuellement Peter), ils construisirent une petite cabane à la cime d'un saule pleureur, près de la rivière qui passait non loin du village et abreuvait ses champs. Ils y passaient de nombreuses heures, à discuter, à rêver et à imaginer leur avenir prochain qu’ils espéraient rempli de mille et une aventures fabuleuses.

Cette petite cabane, bien que modeste, avait été aménagée de façon à ce que les enfants puisent y dormir. Un vieux matelas à deux places en occupait la moitié, tandis qu’à l’autre bout se trouvait un bureau en pin, un bois léger, accompagné de deux chaises toute simple. Pas spécialement confortable, je peux vous l’affirmer pour y avoir passé de nombreuses heures assis à les regarder, mais pourtant, les enfants s’y voyaient comme si ces deux simples chaises avaient été deux trônes de leur future règne.

Malheureusement, au mois de Juillet, un accident changea leurs vies. C'était un jour de pluie, et les deux garçons étaient bien installés dans leur cabane. Riant et discutant, ils avaient réussi à semer le garde de Peter, et tout deux profitaient de cet instant de liberté. Le jeune noble discutait avec ardeur d'un nouveau coup:

-Et tu sais, tu n'aurais pas à trop faire, il suffit que tu fasses distraction un moment et pendant se temps, je lui prends la clé. Tu as toujours été fort pour ça.

En effet, le jeune Noah avait toujours réussi à déconcerter les autres, à cause de son « anomalie », due à sa race. Mais parfois, il lui suffisait de poser une simple question pour décontenancer la plupart des adultes, quelques uns d’entre elles m’ont déjà fait bien rire, cet enfant était déjà si brillant à cet époque.

Mais ce jour-là précisément, tout ne se passa pas comme prévu. Peter et lui s’était rendu à leur cabane pour perfectionner le plan du jeune noble en parvenant à fausser compagnie à leur garde du corps. Tandis que le soleil continuait sa course, des nuages obscurcissaient le ciel et le vent formait d’énormes bourrasques qui faisaient trembler le saule. Les deux garçons, tout à leur affaire, ne firent pas grand cas de ce changement de temps, jusqu’à ce que le fameux « drame » arriva. Dans un bruit foudroyant, un éclair toucha l’arbre à sa cime et l’enflamma. De la fumée pénétra rapidement dans leur abri, et la branche céda, emportant la cabane dans les flots. Par réflexe, mon protégé se métamorphosa en brochet quand il fut dans l’eau, mais malheureusement pour son meilleur ami, une branche l’empala. Observant la scène depuis la rivière, Noah sentit ses muscles se tétaniser sous la peur.
La rivière emportant le corps de Peter, le métamorphe le suivit. Ce qui suivit, je n’ai jamais réellement compris pourquoi Noah l’a fait. Peut-être avait-il agit sur un coup de tête, ou justement avait planifié un plan à l’avance, je n’en sus jamais rien. Un jour, la réponse viendra peut-être à moi, mais celui-ci n’est pas arrivé. Toujours est-il que, suivant les traces de sangs qui teintaient l’eau de rouges, Noah parvint, grâce à sa force et certainement grâce à sa volonté de faire quelque chose, hissa le corps sur la berge. Une lueur d’espoir et de peur se lisait dans ses yeux redevenus humains. Ce fut la première fois qu’il constata la dureté d’un corps après sa mort, la rigidité des muscles, les yeux qui fixaient le Paradis mais vide de sens pour les mortels. Déjà, la mort avait posé sa marque sur le corps du jeune Noble.

Certainement à cause du courant, la branche qui avait transpercé le sternum de Peter s’était dégagée, laissant un trou béant au milieu de sa poitrine. Rien n’aurait pu préparer Noah à distinguer les organes de son ami, de voir le sol à travers lui. Cette image allait restée gravée dans sa mémoire à jamais. C’est maintenant que « l’incident » inexplicable se produit. Était-ce la culpabilité, la peur ou un autre sentiment qui nous font faire des choses insensées, comme dit je n’en su rien, mais les faits étaient là. Après avoir, bien vainement et inutilement, essayé de boucher la blessure et de soigner son ami grâce à ses connaissances, il sembla comprendre que cela était vain et qu’il ne verrait plus jamais le sourire de Peter. Une fois qu’une vie était terminée, on ne pouvait plus faire marche arrière. Changeant de visage, arborant maintenant les traits d’un jeune elfe aux cheveux noirs, Noah s’enfuit de son village, de tout ce qui lui rappellerait cet incident. Cette décision fut certainement la plus importante de sa vie car c’est à cause d’une simple tempête et du hasard que le métamporphe mena sa vie mouvementée.


 Marchant droit devant lui, ne se retournant pas, Noah sentait ses larmes couler le long de son visage en un flot intarissable. Il avait perdu tout ce qui lui tenait à cœur en quelques minutes. Son âme d’enfant était encore bien trop fragile que pour pouvoir rester stoïque suite à l’incident. Peut-être fut-ce à cause d’un éclair de folie, mais il ne pensa même pas à revenir chez lui, auprès de ses parents. Peut-être croyait-il que tout ceci lui serait mit sur le dos.  Ses parent si compréhensifs que je visitai plusieurs fois, et qui a chaque fois avait le visage dévasté de tristesse croyant leur unique enfant également mort, emporté par les flots. N’ayant rien emporté avec lui, Noah se retrouva bientôt affamé et trempé, la pluie tombant toujours. Même si sa métamorphose lui permettait de changer de vêtements, il n’en voyait pas l’utilité puisqu’ils se retrouvaient à nouveau mouillés en quelques minutes. Il avait tout de même échangé ses vêtements couverts de sang contre une tenue de marches rudimentaires. Sa maîtrise laissant encore à désirer, le pantalon était trop court et la capuche n’était même pas assez grande que pour couvrir la moitié de son crâne. Il avait également une poche sans fond et des chaussettes de couleurs différentes, même si cela n’était pas de prime importance.

Lorsque la nuit s’annonça, Noah tenta temps bien que mal de trouver une petite grotte, une cavité pour se sécher et passer la nuit, mais la forêt ne paraissait pas vouloir lui en offrir. Même si à ce moment-là, j’avais les moyens de lui offrir le gîte, je préférai le laissa se débrouiller. Il n’était jamais bon de trop se mêler à la vie des autres. Finalement, il se transforma en renard et s’abrita-en-dessous d’un petit buisson qui laissait passer la pluie. Bien que ses paupières fussent lourdes et que ses muscles criaient de fatigues, Noah ne dormit pas. Il se rappelait le corps de son ami dès que ses yeux se fermaient, et la culpabilité lui rongeait le sang. Malgré tout, le sommeil vint le chercher après de nombreuses heures d'insomnies, son corps meurtri réclamant le repos. Serrant ses petits doigts gelés contre lui, il se serra en boule en plongea dans l'abysse du sommeil...

S'en suivit alors de multiples aventures, que je vous relaterai dans les "Chroniques de Noah". On y découvrira son passé, mais aussi pourquoi cet homme possède autant de nom ou comment est-il parvenu, lui l'enfant qui quitta sa patrie, à devenir l'illustre personnage qu'il est devenu.


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