Shouro Jidai
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Shouro Jidai

L'époque des clochers
 
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Funesti Lamina

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Sally Funesti Lamina
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Sally Funesti Lamina
Messages : 285
Date d'inscription : 16/09/2013
Localisation : Près de la Mer

Feuille de personnage
Âge: 21 ans
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Funesti Lamina Vide
MessageSujet: Funesti Lamina Funesti Lamina Icon_minitimeLun 7 Oct - 4:58




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Nom: Lamina
Prénom: Sally
Nom de pirate: Funesti Lamina
Véritable nom: Céleste
Sexe: Féminin
Age: 21 ans
Race: Sirène
Ville de naissance: Un petit village sous la mer


Taille: 5'3'' (Humaine), 5'6'' (Poisson)
Poids: 110 lbs environ
Rêve: Retrouver son véritable rêve et but dans la vie.
Aime: La mer, c'est une certitude. Le sable, les bateaux, les combats amicaux, les poissons volants et les baleines
Déteste: Les tricheurs, le désert, Aversion envers les pêcheurs, elle n'a jamais aimé les poissons chats...
Orientation Sexuelle: Hétérosexuelle
Métier: Pirates






À quoi tu ressembles ?


Sally a de long cheveux roux, ou plutôt rouge, comme les coraux au fond de l'océan. Ces cheveux assez épais tombent parfaitement droit sur ses épaules, il n'y a pas une seule ondulation. Quelques mèches rebelles lui tombent parfois devant les yeux lorsqu'ils sont libre au vent, mais en généralement, n'ayant pas de grand dégradé, ils restent en place derrière ses épaules. Rare sont les fois où elle attache ses longues couettes rousses à l'aide d'une bandelette de cuir. Seulement lors de combat sérieux, pour ne pas risquer de perdre sa magnifique chevelure. Mais assez de parler de ses cheveux dont elle est si fière. Les yeux de la jeune femme n'ont pas une seule couleur précise. Il change du vert au bleu tout dépendant. Ils gardent les couleurs de la mer et sont mystérieux tout comme le fond de l'océan. De longs cils fin entourent ses yeux, mais n'attirent pas beaucoup l'attention et de mince sourcils de même couleur que ses cheveux se dessinent au-dessus de ses yeux. Elle a un visage de forme ovale et des traits doux et fin. Sally a un corps mince et musclé par ses années de piraterie et ses nombreux voyages autour du monde. Elle a bien évidemment appris à se battre  et il ne faut pas la sous-estimer malgré sa grosseur. Elle est rapide et précise dans ses coups. Elle peut être une redoutable adversaire surtout accompagné de ses fidèles lames qui lui ont d'ailleurs données sont nom de pirate. Ses vêtements dépendent toujours de l'endroit où elle est, de la température, l'aventure et le reste, sauf une chose qu'elle a toujours sur elle, une bague argenté avec une perle et un saphir incrusté dans le manche. Cela ne fait pas très pirate, mais c'est un souvenir important qui la rattache directement au fond de la mer.
Lorsqu'elle est sous sa forme de poisson, la jeune femme gagne en grandeur grâce à sa queue de poisson. Ses longs cheveux restent aussi rouge et ondulent avec les vagues, mais sans friser. Ses yeux sont le plus souvent bleu lorsqu'elle est sous l'eau. En général, elle garde la même allure, comme la pâle cicatrice qu'elle a sous l'oeil gauche. La cicatrice n'est pas très visible, mais elle se voit tout de même. Sa queue est remplie d'écaille de couleur émeraude qui étincelle sous le soleil. Des branchies apparaissent des deux côtés de son cou, mais elle ne gâche en rien la beauté de la sirène.
   





À quoi penses tu ?


Sally était une jeune sirène rêveuse, espiègle qui aimait beaucoup s'amuser. Elle aime toujours autant s'amuser. C'est l'important pour elle dans tout ce qu'elle fait; y prendre plaisir. Elle aime les défis et l'aventure dans lesquelles elle s'amuse généralement beaucoup. Le rire est quelque chose de très important pour elle, mais ce n'est pas drôle d'être seule. Donc Sally préfère être entourée et adore les nouvelles rencontres. Elle est extravertie et amical. C'est facile de l'aborder et de discuter avec elle. Elle parle aussi parfois trop, mais ne prend pas vraiment le temps de voir si ça agace l'autre. Si c'est le cas, mieux vaut lui dire franchement. Elle n'est pas très rancunière à ce sujet. Elle est charismatique en son genre et donc les gens ont tendance à vouloir l'écouter, ce qu'il gonfle énormément sa confiance en elle (déjà très haute, dis en passant...). Elle a une tendance à vouloir tout contrôler, mais pas de façon tyrannique. Elle aime simplement diriger et donner les ordres. C'est une des choses ayant fait d'elle le second dans l'équipage, aussi qu'elle est courageuse et n'hésite pas à se lancer dans l'action accompagnée de ses armes. Mais avant de sauter dans le tas, elle s'assure au moins d'organiser les affaires pour que la bataille tourne de leur côté. Si toutefois, le temps est contre elle, elle improvise avec ce qu'elle a sous la main, ce qui donne parfois de drôle de résultat, mais toujours réussis.
Enfin, c'était avant cette affreuse tempête...
Elle reste toujours la même fille, même si elle se n'est plus aussi évident pour elle. Elle retrouve peu à peu ses habitudes, mais elle qui était si confiante, c'est un peu calmée et renfermée après la tragédie. Elle espère tout de même un jour se retrouver totalement. Elle est surtout désorientée et perdue sur cette île inconnue. Plus le temps avance et plus elle laisse sa véritable identité reprendre le dessus, mais les débuts sont un peu plus difficile, voyez-vous?
 



Qu'as tu vécu ?


La coquille se referma juste avant que la jeune fille puisse attraper la jolie perle qu'elle cachait à l'intérieur. Fronçant les sourcils et poussant un petit «Et puis merde...», la fillette se recula pour aller de nouveau se cacher derrière une roche pour attendre que l'huître s'ouvre à nouveau. Elle avait passé toute la matinée à essayer d'attraper cette petite perle pour pouvoir terminer son collier. Elle aurait bien voulu faire un collier tout en perle comme le faisait si bien sa tante, mais elle se savait incapable de trouver assez de perle pour cela. Elle ne se contentait donc d'une seule. Enfin, une seule si elle arrivait à l'attraper. Cependant, la petite commençait sérieusement à perdre patience. Peut-être ne ferait-elle qu'un collier de corail comme toujours. Mais elle les trouvait si banale et inintéressant. Sa tante en avait déjà reçu plusieurs de sa part. Un de plus ne serait que de trop probablement. Au moins, la dame portait réellement les colliers que lui faisait sa nièce. La jeune sirène sortie sa tête de derrière le rocher pour la quinzième fois depuis ce qui lui semblait être des heures. L'huître ne semblait pas vouloir s'ouvrir. Soupirant, elle abandonna la chasse et quitta l'endroit d'une avancé plutôt lente et découragée.

En arrivant près de la maison, la fillette s'assura que sa tante n'était toujours pas de retour. Il n'y avait personne. Rassurée, la sirène se glissa dans la maison pour terminer son collier. À chaque année, la petite offrait à sa tante un cadeau (souvent des colliers) pour lui témoigner de sa reconnaissance. Qu'aurait-elle fait sans sa tante? C'était celle qui l'avait élevé et qui avait pris soin d'elle. C'était comme sa deuxième mère depuis que sa vraie avait disparue un soir d'orage. Ils ne l'avaient jamais revu. Comme son père d'ailleurs. On accusait les pirates de les avoir tués et emmenés on-ne-sait-où. L'enfant ne les avait jamais revus. En cette journée (qui était aussi celle de la disparition de ses parents), elle sentait toujours un lourd vide au fond de son cœur. Et elle s'occupait donc comme elle pouvait, faisant comme si rien ne l'atteignait, car qu'est-ce que cela aurait changé? Elle ne voulait pas causer plus de soucie à sa tante.

Alors qu'elle terminait le collier aussi banale que d'ordinaire, elle sentie l'eau s'agiter autour d'elle. Quelqu'un arrivait vers la demeure en se dépêchant. C'était inquiétant. Donnant quelques coups de queue, elle se rendit rapidement à la fenêtre pour voir sa tante se précipiter vers la porte d'entrée. La petite alla ouvrir la porte pour accueillir sa tante, mais elle n'eut pas le courage de dire quoique ce soit devant l'air affligé du seul membre de sa famille qui lui restait. Il avait certainement dû se passer quelque chose pendant l'instant où sa tante était à la surface. Mais quoi? Et pourquoi était-elle encore dans cet état alors qu'elle était de nouveau au fond de la mer? L'enfant allait ouvrir la bouche pour demander ce qui se passait, mais la femme la devança:

Il faut partir, Céleste. Tout de suite! Prends quelques affaires avec toi et suis-moi. Dépêche! La pressa sa tante sans rien lui expliquer.

Mais Céleste avait une confiance absolue en cette personne. Elle ne se fit donc pas prier et emballa ses quelques objets importants donc la bague, dernier souvenir de sa mère disparue. Une fois le tout rassemblé, elle rejoignit sa tante qui l'attendait à l'extérieur avec son propre sac. Elle demanda ce qu'il se passait, pourquoi il fallait se presser, mais elle n'obtint aucune réponse à part un « Vite! Presse-toi!». Elle n'aimait pas devoir se presser sans savoir pourquoi et puis, le temps que sa tante arrive, la nuit commençait à tomber. Céleste détestait nager sous l'océan noir. Dans les profondeurs de la mer, on pouvait y découvrir d'horrible chose et sa tante refusait d'aller vers la surface pour s'éclairer de la lune. Sa tante n'accepta même pas de faire une pause et porta donc sa nièce dans ses bras pendant que celle-ci se reposait. Elles s'arrêtèrent finalement au petit matin dans une grotte au fond de la mer. Sa tante s'assura que personne ne les avait suivi et ce ne fut qu'après qu'elle s'endormit d'un sommeil léger. Toujours attentive à ce qui se passait autour.

Céleste était assise au bord de la grotte. Juste devant elle s'ouvrait un gouffre profond dont on ne voyait pas la fin. Elle se dit qu'elle n'oserait jamais descendre là. On risquerait d'y rester coincer pour toujours. Elle se retourna ensuite vers sa tante en se posant les mêmes questions que depuis leur départ. Ce n'est qu'à ce moment-là qu'elle se rendit compte de l'eau entourant sa tante. Elle avait pris une teinte rougeâtre dans les lueurs du matin. Inquiète, Céleste s'approcha de la femme et remarqua alors sur sa queue une énorme entaille qui avait maladroitement été soigné. Le sang s'échappait tout de même légèrement du bandage de fortune entourant la queue orangée de sa tante. Le bandage était dû pour être changé. Fouillant dans le sac de sa tante, la fillette trouva d'autre bandage. Sa tante avait prévu le coup... Délicatement, Céleste enleva les bandelettes ensanglantées et sa tante se réveilla d'un coup. Elle aida donc sa tête à se soigner, mais la blessure semblait sérieuse. Elle aurait dû le remarquer plus tôt. Quelle nièce ingrate elle faisait. Elle avait même laissé sa tante la porter alors qu'elle était blessée. Une fois que la blessure fut, semblait-il, sous contrôle, sa tante lui fit un grossier résumé de ce qui s'était passé là-haut. Elle s'était fait attaquer par une bande de pirate. C'est barbare sans cœur. Ils disaient souvent avoir besoin de sirènes vivantes, mais personne ne savait pourquoi. Probablement parce que ces belles créatures des mers les enchantaient. On avait essayé de la capturer avec un harpon, mais elle avait eu le temps de fuir. Le problème était qu'ils avaient découvert leur village. Tout le monde avait dû quitter l'endroit dans la nuit, car les pirates avaient bien l'intention de tous les attraper. Personne ne savait s'ils auraient vraiment pu, mais il ne fallait pas prendre de risque sur ces choses-là.

La nuit suivante, dans la grotte, sa tante succomba à sa blessure laissant Céleste seule pour affronter la vie difficile du haut de ses neuf ans. Anéantie, Céleste resta pendant quelques jours dans la grotte ne pouvant admettre que sa tante était vraiment décédée. Elle attendait vainement qu'elle se réveille. Elle lui apportait chaque jour de la nourriture que la femme ne mangeait pas, s'occupait de la blessure qui ne saignait plus et pleurait tous les soirs sans se convaincre. Mais elle dut bien finir par en venir à l'évidence. Sa tante était partie pour de bon. Céleste se décida enfin à laisser le cadavre de sa seule famille restante coulé au fond de l’abysse. Perdue à jamais, mais appartenant à l'océan pour toujours.

Ce soir-là, Céleste laissa libre cours à sa peine couchée en boule au fond de la grotte. Complètement désespérée. Animée par un nouveau désir. Le seul mot qui lui semblait encore avoir un sens. Vengeance.

Vengeance. Pendant les jours, les semaines, les mois, les années même qui suivirent la mort de sa tante, Céleste n'avait que cette pensée en tête. Ce mot lui était si doux. Si présent. Il lui semblait qu'on lui murmurait doucement au creux de l'oreille lorsqu'elle s'endormait le soir et qu'on la réveillait avec ce doux chant chaque matinée. Elle ne vivait plus que pour cela. Vengeance. Ce mot voulait tout simplement tout dire. Plus aucune ressource. Plus qu'un désir. Vengeance. Plus d'espoir. Plus d'envie. Sauf, Vengeance. Ce n'était plus qu'un nom commun. Il avait gagné au creux du cœur de la jeune fille la place de nom propre. Maître mot dans sa petite existence. Tout ce qui lui semblait encore tenir debout.

Si longtemps elle chercha ces pirates. Si longtemps elle prépara son plan. Elle voulait que tout soit parfait. Le capitaine de ce navire périrait de ses mains. Elle s'en faisait une promesse. Promesse mortelle. Entraînant dans la mort l'ennemi, mais la sienne aussi. Elle ne s'en sortirait pas. C'était la fin. Sa dernière aventure. Sa dernière envie. Elle souhaitait simplement mourir au fond de la mer, elle aussi. Avoir le temps de rejoindre l'abysse et sa tante. Pour vivre éternellement dans la mer, à ses côtés. Ce jour viendrait. Et elle serait prête. Vengeance.

*          *          *

C'était celui-là. Elle en était certaine. C'était ce navire, ces pirates. Ils avaient de nouveau capturés une sirène. Céleste la libérerait en même temps de se glisser dans le bateau. C'était une belle journée pour s'introduire dans le navire. Une tempête se préparait et les vagues secouant le bateau était déjà bien haute. Habilement et furtivement, pendant que les matelots étaient occupés sur le pont, Céleste se glissa à l'intérieur par l'embouchure d'un canon. Elle atterrit plutôt durement sur le sol. Elle qui n'avait jamais quitté la mer ne savait pas trop comment se déplacer sur le bois. Elle avait l'habitude d'avoir une impression de flotter. Là, la graviter la tenait complètement au sol. Avec de grand effort, Céleste réussit à se glisser jusqu'à la cale du navire pour se cacher entre les boîtes. Elle devrait trouver un moyen de se déplacer si elle voulait se venger. Étonnamment, elle pouvait parfaitement respirer hors de l'eau. Elle porta la main à son cou pour se rendre compte que ses branchies avaient disparus. Elle retint un cri de surprise et de peur. Comment donc respirait-elle? Elle se rendit alors compte qu'inconsciemment, en arrivant à l'air libre, elle avait commencé à respirer par le nez. C'était quelque chose de fabuleux. Mais tout de même, avec sa queue de poisson, elle ne pouvait pas aller bien loin. Elle ne pouvait même pas sauver l'autre sirène prisonnière et se pensant condamnée.

Les heures passèrent pendant lesquelles la tempête se calma et Céleste était perdue dans ses pensées, essayant de trouver un moyen de bouger d'ici. Elle se rendit alors compte que ces écailles émeraudes disparaissaient peu à peu de sur sa queue pour laisser place à peau pareille à celle de ses bras où de son ventre. Sa queue se sépara en deux fines choses qui courbaient au bout et finissait par plusieurs petites boules de chair. Un peu comme des mains, mais différent en même temps. Elle se surpris à pouvoir bouger ses deux nouveaux membres séparément. Elle se rappela alors certaines histoires de la surface que lui contait sa tante lorsqu'elle était plus jeune. Une sirène sortie de l'eau pouvait se mêler aux humains en leur ressemblant. C'était donc de ça que parlait sa tante! C'était toute une aventure. Mais elle savait aussi qu'aucun de ces humains ne se promenait nu, comme elle l'était en ce moment même. Il lui fallait s'habiller avec quelque chose. Se fiant aux vieilles histoires qui refaisaient surface de sa mémoire, Céleste tenta de comprendre ce qu'elle devait faire pour avoir l'air d'un des leurs. Tout d'abord, se lever. Les humains marchaient debout. Elle posa la plante de ses deux fausses mains par terre et se leva en s'appuya sur ses mains après les boîtes l'entourant. Une fois debout, elle tenta de se mettre droite, mais à peine avait-elle mis un peu de poids sur ce qui lui semblait être appelé des pieds, elle retomba au sol dans un bruit sourd. Sans aucune résistance de la part de ses deux membres affreusement faible. Il lui faudrait donc apprendre à se tenir debout, puis à se déplacer.

Les temps qui suivirent son entrée sur le bateau, Céleste se cachait dans la cale, mangeant certaines choses qu'elle trouvait et s'entraînant à marcher debout. Il fallait beaucoup de force et d'agilité pour savoir bien se déplacer comme elle le faisait dans la mer, mais elle s'améliorait de jour en jour. Elle s'était aussi vêtu d'un grand  gilet de toile blanche et avait attaché le lousse du chandail autour de sa taille avec une corde de cuir qu'elle avait trouvé dans le fond d'une boîte. Lorsque des pirates descendaient à la cale, Céleste se cachait et personne ne se doutait de sa présence sur le navire. C'était bon signe.

Puis, le jour arriva où elle savait parfaitement se tenir debout et marcher. Elle avait même espionné quelques marins et trouvé une petite dague au fond d'une boîte. Elle était usée, mais c'était mieux que rien. Elle s'était entraînée aux lancés, comme elle avait vu certains hommes le faire. Maintenant, elle se sentait prête. En montant furtivement l'escalier, elle écouta l'activité extérieure qui était plutôt agité. Regardant dans la porte menant à la sortie de la cale, elle se rendit compte que les pirates se battaient avec ce qui semblait être d'autres pirates. Quelles étranges personnes étaient ces humains. Ils s'attaquaient entre eux? Mais bon, ce n'était pas de ses affaires. C'était aussi le meilleur moment pour frapper. Elle n'aurait pu espérer mieux. Dans la confusion et l'agitation, la sirène se glissa entre les hommes rapidement évitant avec difficulté les lames et les coups de feu. Effrayée, elle arriva finalement à se cacher sous un escalier. C'était beaucoup trop intense pour elle. Elle avait envie de retourner se cacher dans sa cale. Mais si elle laissait passer cette chance, Vengeance lui en voudrait pour toujours et elle s'en voudrait aussi. Elle chercha donc des yeux le plus important. Pour elle, il lui semblait clair que c'était l'homme sale aux cheveux bruns et à la grosse barbe qui se tenait nonchalamment en haut des marches, près du gouvernail. Céleste monta les marches, s'attirant parfois les regards étonnés de certain homme, peut-être à cause de sa tenue, ou bien simplement parce que c'était une femme. Elle arriva rapidement en haut et le capitaine la jaugea du regard avant de la pousser de côté du revers de la main. Céleste sortie alors son couteau et le planta rageusement dans l'épaule de l'homme avant de le retirer et de se reculer. Elle contourna la personne et voulut enfoncer le couteau dans son dos, mais le pirate avait une longueur d'avance sur elle, il se retourna et attrapa ses poignets de ses grosses mains sales. Il ria dans sa barbe en la regardant. Puis il lui dit des obscénités de pirate qui lui donnait envie de vomir. Heureusement, quelque vint à son secours. Elle ne sut pas vraiment pourquoi on s'en prenait à l'homme pour venir la sauver. Probablement parce qu'elle était une femme qui avait l'air faible. Tout de même, elle n'avait pas l'intention de laisser quelqu'un lui voler le meurtre de cet homme. Elle ramassa le couteau qu'elle avait laissé tomber et tenta de s'approcher de nouveau. En s'approchant, elle reçue l'épée du pirate près de l’œil gauche et elle sentit comme une ligne de feu vriller sa peau. Du sang lui coula lentement devant l’œil. Ce qui lui rappela cette funeste nuit où elle avait perdue sa tante par leur faute. Dans un cri de haine, elle planta la dague dans le cœur de l'homme qui ne s'occupait déjà plus d'elle. Plus, larmes et sang se mélangèrent alors qu'elle se laissait tomber par terre. L'homme qui l'avait sauvé la ramassa et entre ses sanglots, Céleste réussit à murmurer « Libérer la sirène... Il y a une sirène à bord....». Le reste de la bataille n'était qu'un souvenir flou. Elle savait simplement qu'après la mort de leur capitaine, l'autre équipage avait fini par abandonner la bataille.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, la sirène se rendit compte qu'elle était couchée dans un lit et quelqu'un à ses côtés venait de soigner sa blessure. Elle réussit à murmurer un pourquoi, auquel on répondit qu'elle était une alliée. Elle s'assit lentement dans le lit. Sa blessure allait beaucoup mieux. L’œil en tant que tel n'avait pas été touché. Elle avait de la chance. Elle regarda alors le jeune à ses côtés qui devait avoir dans la vingtaine. Peut-être vingt-cinq ou vingt-sept ans.

- Comment t'appelles-tu petite? Lui demanda-t-il alors.

Céleste le regarda longuement. Elle n'osait pas vraiment lui dire son nom. Elle ne le connaissait pas et de toute évidence c'était aussi un pirate, mais tant qu'on ne savait pas qu'elle était une sirène, tout allait bien, n'est-ce pas? Sirène. Elle repensa alors à celle qui avait été capturée.

- La sirène! Elle va bien? Vous l'avez sauvé?
- Ha Ha Ha! On se calme! Oui, nous l'avons retournée à la mer. Ces hommes sont des idiots. Il ne faut pas s'en prendre à plus grand mystère que soit. Les sirènes appartiennent à la mer.


Céleste hocha timidement la tête et l'homme lui redemanda son nom en ajoutant: «Aller, ne sois pas gêner!»

- Sally, articula lentement la jeune fille. Je m'appelle Sally.

Inconsciemment, elle venait de donner un autre nom à cet homme. Celui de la femme courageuse des histoires racontées par sa tante. Elle ne pouvait lui faire confiance pour lui donner son vrai nom. Et cette femme était pour elle un exemple. En plus, Sally faisait beaucoup plus humaine que Céleste, n'est-ce pas?

- Sally? C'est un joli prénom. Et ton nom?
- Lamina.
- Sally Lamina. Enchanté, moi, c'est William Ward. Quel âge as-tu?
- 14 ans. Ou peut-être 15. Je ne suis pas certaine.
- Tu es plutôt jeune. Que faisais-tu sur ce navire?
- Euh... C'est une longue histoire. Mais j'avais quelque chose à régler avec ce pirate...
- Je vois. Bon, on a mis des vêtements à ta disposition parce que ce que tu portes en ce moment n'en sont pas vraiment, n'est-ce pas? En tout cas, pas pour toi.
- Merci...


Après cette échange, l'homme quitta la cabine et «Sally» put s'habiller avec de vrai vêtement. Elle passa quelque jour au lit pour être sûr qu'elle n'avait puis fut autorisée à se promener sur le navire. Cette bande de pirate était plutôt chouette et loin de l'image qu'elle s'en faisait. Elle prenait même plaisir à voyager avec eux. C'est là que sa nouvelle vie commença.

*          *          *

Assise sur le quai, Sally regardait l'horizon avec envie. Elle avait hâte de reprendre la mer. Ce séjour de trois semaines avait été trop long pour elle dans cette petite ville portuaire. Elle adorait l'océan plus que tout et n'attendait que de reprendre la mer. Certain soir, elle allait se promener dans les eaux glacées du nord, parce que c'était une petite ville au nord, mais l'eau froide n'était pas toujours agréable sur sa peau nue, donc elle n'y allait pas si souvent. Elle préférait nager dans les eaux du sud et restait sous forme humaine dans les contrées plus froides.

Donc, ces dernières semaines, Sally était restée sous forme humaine. Il fallait dire qu'elle cachait sa véritable race aux hommes qu'elle ne connaissait pas. Seul l'équipage du navire savait ce qu'elle était réellement. Il ne la traitait pas différemment (sauf quelques regards envieux des plus pervers, mais Sally ne s'en faisait pas, elle savait les remettre à leur place si nécessaire). Et aujourd'hui était enfin arrivé. Ils reprenaient finalement la mer. Il ne restait plus qu'à emballer les dernières choses et ils quitteraient le port. Sally n'aidait pas. Son regard bleu se perdait dans l'océan. Elle repensait à ses premiers temps à bord de cet équipage qui était devenu sa nouvelle famille. Ils lui avaient appris tout ce qui concernait les façons de vivre des hommes et elle vivait maintenant parfaitement parmi eux. Elle avait aussi pris goût à la piraterie, aux longs voyages durant des semaines sur la mer, aux combats amicaux contre les autres pirates de l'équipage, aux défis semblant insurmontables et surtout, à l'amour de la mer qui unissait chaque homme sur ce vaisseau. Sa vie était devenu une aventure merveilleuse. Elle n'oubliait cependant pas sa tante, ni sa famille. La blessure qui existait toujours au fond de son âme et la cicatrice lui rappelant sans cesse une vengeance inutile faisait partie de son passé, mais elle avait appris à laisser le passer où il était. Et maintenant, malgré quelques moments de triste nostalgie, elle était heureuse et avait trouvé sa voix. Elle vivrait ainsi pour toujours avec la mer. Une fois l'embarquement terminé, William appela Sally pour qu'elle les rejoigne. Il lui promit aussi que dès qu'ils seront descendus plus au sud, elle pourrait les suivre à la nager. Avec un sourire, Sally se glissa sur le bateau et se dirigea vers la proue. Elle accota ses mains sur le bois et laissa le vent de la mer lui fouetter le visage. Ce que la mer lui avait manqué!

Quelques heures plus tard, le capitaine la fit appeler. Elle se dirigea vers la cabine de l'homme d'un pas nonchalant, s'assurant que chacun était à son poste. Elle entra ensuite dans la cabine saluant le capitaine avec un sourire et remarqua au fond de la pièce un homme qu'elle n'avait jamais vu. Elle fronça les sourcils en s'approchant du seul bureau de la pièce.

- Qui est-ce?
- Ha Ha! Tu prends de nouveau tes grands airs dès qu'un inconnu monte sur le navire? Ha Ha! Je te présente Kal. Il va travailler pour nous pendant quelques temps. Je l'ai engagé dans cette petite ville. Il n'arrivait pas à se trouver du boulot et il fera sûrement un bon matelot! Regarde le bien!
- Hum... Oui. Peut-être.
Répondit la jeune femme en jaugeant du regard l'homme.
- Bien! Je suis content que tu sois d'accord puisqu'on ne peut pas le retourner! Ha Ha Ha Ha!

Sally s'autorisa un sourire puis attendit le reste des ordres du capitaine, parce qu'il ne l'avait clairement pas appeler pour avoir son avis (même si souvent il le faisait) puisque c'était déjà décidé. Elle croisa donc les bras sur sa poitrine en attendant la suite.

- Kal, je te présente Sally Lamina, mon second. Connue aussi sous le nom de Funesti Lamina. Il ne faut jamais la défier sur ce sujet! Ha Ha Ha! Alors, elle va t'expliquer ton boulot et les exigences qui viennent avec.
- Bienvenue dans l'équipage de l'Aigle Noir, Kal! Je vais t'expliquer tout ça. Et je vais aussi te dire comment ça fonctionne sur ce bateau. Tu me suis?
- Hm...
- Je prends ça pour un oui...


Sally sortie donc de la cabine accompagnée du nouveau membre de l'équipage. Elle lui expliqua son boulot qui était bien facile; nettoyer le pont et aider à tendre les voiles. Pour commencer, c'était plutôt bien. Elle verrait ensuite s'il méritait plus. Lorsqu'ils rencontraient un autre pirate, Sally s'occupait des présentations et continuait le tour du navire pour bien expliquer la façon dont ça marchait ici. Puis, elle le laissa à son boulot et retourna au sien qui était la supervision générale pendant que le capitaine préparait les plans pour les futures traversées et projets.

L'année s'écoula lentement et Sally se lia rapidement d'amitié avec le nouveau. Ils s'amusaient à se lancer des défis et à jouer des tours aux autres membres. Ce qui était énormément amusant. Kal et Sally  se découvrirent aussi très bon pour travailler en équipe et plusieurs petites missions leur furent attribuées. Missions qui bien entendu, ils menaient à bien. Cela mena le capitaine à nommer Kal lieutenant. Il le méritait amplement de l'avis de la sirène. Il avait bien évidemment appris que Sally était une sirène et Sally le considérait comme un frère. Elle fut donc un peu triste lorsque vers la fin de l'année, il les quitta pour continuer sa route, mais Sally comprenait et acceptait ce choix. Sa vie n'était pas celle d'un pirate, mais celle d'un voleur. Les Aigles Noirs reprirent ensuite la mer avec l'intention d'explorer de nouveaux horizons.

*          *          *

Sally criait pour se faire entendre, espérant que les vagues déchaînées ne l'enterraient pas. Il fallait réussit à sortir de cette tempête rapidement. La pluie tombait abondamment sur le pont, le rendre très glissant. Les vagues frappaient violemment le navire et rendre de toute part, tentant de faire tomber à la mer les hommes de l'équipage. Sally se forçait pour garder forme humaine parce que son corps mouillé jusqu'aux os avait tendant à vouloir reprendre sa forme originale, mais en tant que sirène, elle se savait inutile pour aider sur le bateau. Cependant, elle voyait déjà les écailles apparaître sur ses jambes. Serrant les dents et tirant un peu plus sur la corde de la voile, Sally appela un des pirates près d'elle pour recevoir de l'aide, mais celui-ci ne l'entendit pas et se précipita pour aller aider un des hommes qui tombait. Sally lâcha la corde pour aller aider les autres aussi, mais avec le vent, la corde s'agita et la fouetta au visage. Sally ferma les yeux un quart de seconde, mais ce fut assez pour ne pas voir la vague qui l’entraîna violemment dans l'eau. Coincée dans les cours d'eau qui tourbillonnaient d'un bord et de l'autre, Sally décida de s'enfoncer plus profondément dans la mer. Sally remercia ses branchies et sa queue de poisson qui venaient de terminer leur transformation. Elle s'enfonça donc dans les profondeurs sombres de la mer en colère pour remonter plus loin à la surface. Elle vit les vagues secouer le bateau. Elle devait absolument trouver un moyen d'aider. Sally remarqua au loin une terre. S'ils arrivaient à se rendre jusque là-bas, ils étaient sauvés. Replongeant sous l'eau, Sally s'approcha du bateau. Grâce aux grandes vagues, elle put facilement se glisser sur le pont pour donner sa nouvelle idée. Voyant enfin une lueur d'espoir à l'horizon, tous les hommes se mirent au travail pour faire bouger le navire vers la direction indiquée par la sirène. Ce ne fut pas un franc succès, surtout que la sirène était facilement balayée par les fortes vagues. Une des vagues la projeta directement contre l'escalier menant au gouvernail avant de l'emporter vers la mer. La sirène glissa au fond de la mer, brassée d'un côté et de l'autre sans arrêt et sans résistance de la part de la jeune femme qui n'avait plus conscience de ce qui se passait. Elle s'était violemment cogné la tête contre l'escalier et avait perdue connaissance tout de suite après. La tempête l'emporta donc beaucoup plus loin, jusqu'à ce qu'elle s'échoie sur une plage de sable fin.

Lentement, le soleil, qui avait repris ses droits sur le ciel, sécha la peau pâle de la sirène. Les branchies de poisson disparurent de son cou pour lui permettre de bien respirer par le nez. Lentement, chacune des écailles vertes de sa queue laissèrent place à sa peau pâle. Étendue sur la plage, il n'y avait qu'une humaine rousse et perdue.

Doucement, ses deux yeux verts s'ouvrirent à la lumière du jour. Lumière qui, lui sembla-t-il, augmentait la douleur déjà présente dans son crâne. Lentement, la jeune femme s'assit sur la plage et ramena ses jambes vers elle. Elle regarde autour, complètement décontenancée. Que... s'était-il passé? Elle ne savait plus comment elle s'était retrouvée sur cette plage de sable chaud. Non loin d'elle traînait des vêtements qu'elle savait être les siens. Pourquoi dans ce cas, ne les avait-elle pas sur elle? C'était une bonne question. Elle se traîna avec difficulté vers son linge pour s'habiller lentement. Puis, elle se leva, ayant toujours cette affreuse migraine lui martelant la tête. Elle regarda la mer. Rien. Il n'y avait rien. Elle ne savait plus. Elle regardait la mer par réflexe. Mais pourquoi? Certaines réponses devaient se trouver là-bas, mais elle n'osait s'avancer vers l'eau qui lui semblait tout d'un coup sauvage et dangereuse. Elle sentie les larmes lui monter aux yeux et les laissa doucement couler sur ses joues. Elle n'avait jamais imaginé l'horreur d'un jour se retrouver aussi démunie. Ne plus savoir où aller. Ne plus savoir d'où on vient. Ne plus savoir qui nous sommes. Et où était-elle? Elle ne comprenait plus rien. Comment avait-elle perdu tous ces souvenirs? Sa mémoire était complètement vide. Elle s'agenouilla sur le sable et se prit la tête à deux mains, essayant de se raccrocher à quelque chose. Le plus petit souvenir. Le moindre souvenir. N'importe quoi...

Elle sentie alors quelque chose sur son épaule. Elle se retourna vivement et sa main chercha une arme sur sa hanche gauche de manière inconsciente. La femme fronça les sourcils. Elle savait avoir répété ce mouvement plusieurs fois déjà. Elle se rendit compte qu'il n'y avait rien derrière elle. Plus loin sur la plage, elle découvrit des débris de bois. Elle s'en approcha et y trouva une lame. Elle sentie son cœur bondir dans sa poitrine à la vue de cette arme. C'était la sienne. Elle en était certaine. Elle la ramassa doucement. Elle caressa le manche lentement et serra contre elle la lame. Elle savait se battre. Et elle s'appelait Sally. Quoique une petite voix lui glissait à l'oreille qu'elle s'appelait aussi Céleste. Prenant une grande inspiration, Sally/Céleste était bien décidée à se rappeler. Un jour, elle se souviendrait de tout. Et si possible, le plus tôt possible.





Dernière édition par Sally Funesti Lamina le Mar 8 Oct - 1:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Funesti Lamina Funesti Lamina Icon_minitimeLun 7 Oct - 15:20

Bienvenue à toi, Sally. ^^

Pour commencer, j'ai franchement adoré ton histoire, ton style fluide d'écriture est simple à lire, et j'aime bien. Personnellement, je ne trouve rien à redire à ta fiche, Kei passera donc après moi et te rendra le verdict.
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MessageSujet: Re: Funesti Lamina Funesti Lamina Icon_minitimeLun 7 Oct - 19:18

Alors alors,

Bienvenue tout d'abord.

Il y a quelques fautes de verbes par ci par là. Il manque parfois un mot dans la phrase. Mais le tout reste néanmoins compréhensif et bien écrit.

Avant de te valider je voudrais cependant que dans l'histoire tu mettes des couleurs pour les dialogues afin que l'on comprenne bien qu'il s'agit de parole.

Voilà. Une fois cela fait, tu pourras commencer ta petite épopée parmi nous!
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MessageSujet: Re: Funesti Lamina Funesti Lamina Icon_minitimeMar 8 Oct - 1:51

Merci Smile

Alors, J'ai rajouté la couleur pour séparer les dialogues de la narration.
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MessageSujet: Re: Funesti Lamina Funesti Lamina Icon_minitimeMar 8 Oct - 7:39

Pour moi c'est bon.

Tu as 400 égens à dépenser à ta guise dans la section "armes et équipement". Pour cela envoie un MP à Noah ou à moi pour obtenir ce que tu souhaite.

Je vais pas te conseiller d'aller recenser ton avatar puisque tu l'as déjà fais x)

Bon rp parmi nous !
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MessageSujet: Re: Funesti Lamina Funesti Lamina Icon_minitime

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Funesti Lamina

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